Vers une nouvelle dynamique des métiers de l’accompagnement en France

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Après avoir conquis ses lettres de noblesse dans les Comités de Direction des grands groupes français et internationaux, le coaching a su convaincre de sa pertinence comme vecteur de prospérité économique et sociale dans les PME, les TPE, les associations, les collectivités territoriales et, également, dans les administrations d’Etat.

Il s’illustre par exemple avec l’Appel d’Offre interministériel lancé pour la première fois cette année par les services de l’Etat avec une enveloppe globale de 1,5 million d’euros. Cette démarche marque un enracinement durable et apprécié.

Le coaching est de plus en plus plébiscité pour aider les collaborateurs à bâtir leurs solutions, générer de l’autonomie, une meilleure appréhension des changements que vivent leurs organisations, une meilleure anticipation des ruptures et des évolutions technologiques et paradigmatiques.

Loin du flou de la fin des années 80, lors de son apparition, où beaucoup pouvaient s’improviser coachs (peu de formations certifiaient encore à cette époque), le métier de coach professionnel a su se structurer rapidement autour de certifications privées et de diplômes universitaires, de pôles de recherche, d’accréditations françaises et internationales et a su se faire reconnaître au Registre National des Certifications Professionnelles.

Pour améliorer la qualité et la sécurité des accompagnements, les associations recommandent fortement l’usage de la supervision pour les coachs, pratique déjà utilisée par de nombreux autres professionnels de l’accompagnement ou de la relation d’aide tels que les travailleurs sociaux, les personnels de santé ou encore les psychologues.